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Sujet: Re: Le hacker aux onvis Sam 1 Aoû 2009 - 3:32
Copie ci-dessous de l'article :
Le "hacker aux ovnis" sera extradé vers les Etats-Unis LEMONDE.FR avec AFP | 31.07.09 | 16h16 • Mis à jour le 31.07.09 | 16h35
Gary McKinnon, le "hacker aux ovnis", devrait être extradé en septembre aux Etats-Unis et y être jugé pour des intrusions dans 97 ordinateurs de la NASA et de l'armée américaine.
Gary McKinnon en est convaincu : les Etats-Unis ont eu des contacts avec des extraterrestres, et la NASA et l'armée américaine font partie d'une conspiration visant à dissimuler les preuves de ces rencontres du troisième type. C'est une théorie du complot assez populaire, mais Gary McKinnon n'est pas un conspirationniste comme les autres. Ce citoyen britannique, âgé de 43 ans aujourd'hui, est également un fin connaisseur des réseaux informatiques. Peu après les attentats du 11 septembre 2001, il parvient à s'introduire dans les systèmes de la NASA et de l'armée américaine. Gary McKinnon "visite" au moins 97 ordinateurs de l'agence spatiale et de plusieurs services militaires, à la recherche de preuves d'une vie extraterrestre. Il affirme avoir découvert des éléments attestant que les Etats-Unis détiennent une source illimitée d'énergie créée à partir de vaisseaux spatiaux tombés entre leurs mains.
Lorsqu'ils découvrent l'intrusion, les services américains remontent sa piste, et demandent l'aide de la Grande-Bretagne pour arrêter et extrader Gary McKinnon. Interpellé en 2002, le hacker engage une longue bataille juridique pour être jugé au Royaume-Uni. D'après la législation américaine, il encourt une peine qui peut aller jusqu'à soixante-dix ans de réclusion dans une prison de haute sécurité, pour ce que le procureur américain appelle "la plus importante intrusion jamais réalisée contre un réseau informatique militaire".
LA SOUVERAINETÉ BRITANNIQUE EN QUESTION
Le hacker a bénéficié, en Grande-Bretagne, du soutien d'une partie de l'opinion publique et de nombreux élus. Il souffre du syndrome d'Asperger, une forme d'autisme, incompatible selon ses partisans avec une détention en quartier de haute sécurité, qui l'exposerait à un risque de suicide ou de psychose. La Cour européenne des droits de l'homme avait jugé l'an dernier que son extradition était compatible avec son état. Et ce vendredi, la dernière procédure d'appel a été rejetée par un tribunal britannique.
Au-delà de l'aspect humanitaire, l'affaire McKinnon a aussi pris un tour politique en Grande-Bretagne. Plusieurs médias et hommes politiques dénoncent la convention d'extradition qui lie les Etats-Unis et le Royaume-Uni, considérant que l'accord favorise indûment le gouvernement américain. L'extradition de suspects britanniques vers les Etats-Unis n'est qu'exceptionellement refusée par Londres, tandis que les suspects américains sont rarement jugés au Royaume-Uni. L'avocat de Gary McKinnon avait plaidé que son client ayant commis les intrusions depuis le sol britannique, il devait être jugé au Royaume-Uni, sans succès. Gary McKinnon devrait être extradé dès le mois de septembre.
Aroya
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Sujet: Re: Le hacker aux onvis Sam 1 Aoû 2009 - 3:37
Gary McKinnon en quète de vérité Tiré du blog ufofu.org, 13/02/07
En 2002, Gary McKinnon a été arreté par l’unité spéciale d’intervention en charge du crime haute-technologie (National high-tech crime unit) après avoir été accusé de piratage de réseaux appartenant aux militaires US et à la NASA.
Il prétend avoir passé deux années à chercher des preuves photographiques de l’existence d’engins extraterrestres et de technologies avancées.
L’administration Bush veut le poursuivre en justice, en cas de procès aux Etats-Unis le britannique de 40 ans risque 70 ans de prison et une amende de 2 millions de dollars. Son extradition doit être décidée le 10 Mai.
“Je savais que les gouvernements cachaient des choses concernant l’antigravité, les technologies relatives aux OVNIs, l’énergie libre ou ce qu’ils appellent “zero-point energy”
McKinnon raconta à Wired Magazine qu’il avait trouvé un “livre avec 400 témoignages de controleurs aériens et de personel responsable du lancement d’engins nucléaires. Des témoins très crédibles. Ils parlent de technologie récupérée sur des engins extraterrestres récupérés.”
McKinnon, via un expert en photographie de la NASA, aurait appri l’existence d’un “batiment 8″ au centre spatial Johnson (Johnson Space Center) sensé être en charge de la retouche des images satellites haute-resolution. Il a pu par la suite pénétrer les ordinateurs de ce département, ils avaient des fichiers énormes de photos haute-résolution, certaines marquées “filtrées” et d’autres “non-filtrées”.
“Ma connexion modem 56K était bien trop faible pour télécharger l’une de ces images. A ce moment là j’avais le contrôle de leur ordinateur, et en ajustant la couleur à 4-bits et une résolution d’écran très basse, j’ai pu voir brièvement l’une des photos. C’était celle d’un objet argenté en forme de cigare avec des sphères géodésiques de part et d’autre. Il n’y avait pas de raccords ni de rivets visibles. Il n’y avait pas de précisions quant à la taille de l’objet et je présume que celui-ci avait été pris par un satellite. L’objet ne ressemblait à rien de ce que des hommes auraient pu créer. Comme j’utilisais une application Java je n’ai pu avoir qu’une copie d’écran de la photo, elle n’est pas restée dans mes fichiers temporaires. Au moment crutial, quelqu’un à la NASA avait découvert ce que j’étais en train de faire et je fus déconnecté.
J’ai aussi eu accès à des fichiers Excel. L’un d’eux était intitulé “Officiers non-terrestres”. Il contenait les noms et les grades de personnel de l’U.S. Air Force qui ne sont répertoriés nulle part ailleur. Il contenait également des informations à propose de transferts entre appareils, mais je n’ai jamais vu les noms de ces appareils noté autre part.”
Aroya
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Sujet: Re: Le hacker aux onvis Sam 1 Aoû 2009 - 3:38
Traduction de l'interview de McKinnon par Spencer Kelly
Dans cette interview réalisée en 2006 par des membres de son groupe de soutien, Gary McKinnon revient longuement sur ses intrusions dans les ordinateurs américains et ce qu'il dit y avoir découvert :
Spencer Kelly : Voici la liste des accusations à votre encontre : vous avez piraté les ordinateurs de l’armée américaine, de l’US Navy, de l’US Air Force, du département de la défense et de la NASA, parmi d’autres. Pourquoi?
Gary McKinnon : J’étais à la recherche de technologie cachée au public, communément appelée technologie OVNI. Je pense que c’est le secret le mieux gardé au monde du fait de sa valeur comique, mais c’est un sujet très important. Beaucoup de vieilles personnes à la retraite ne peuvent plus payer leurs factures de fioul, des pays sont envahis pour accaparer leur pétrole et pendant ce temps une branche secrète du gouvernement a en sa possession des technologies d’énergie libre.
SK : Comment avez-vous fait pour trouver les choses que vous cherchiez à la NASA, au Département de la Défense?
GM : Au contraire de ce que pourrait vous faire croire la presse, ce n’était pas bien complexe. J’ai cherché des mots de passe vierges, j’ai écrit un petit script en Perl qui s’assemblait avec des programmes que d’autres avaient fait pour rechercher ces mots de passe. De cette manière on pouvait scanner 65 000 machines en seulement huit minutes.
SK : Ce que vous dites c’est que vous avez trouvé des ordinateurs avec un accès administrateur, qui n’avaient pas de mot de passe, qui avaient le mot de passe par défaut?
GM : Oui, précisément.
SK : Étiez-vous le seul pirate à passer ces lignes de défense plus que faibles ?
GM : Oui exactement, il n’y avait aucune ligne de défense. Il y avait une tendence permanente pour les pirates de pays étrangers à se connecter. Vous pouviez lancer une commande quand vous étiez sur une machine qui montrait les connexions du monde entier et vérifier les adresses IP pour voir s’il s’agissait d’une autre base militaire, et ce n’était pas le cas.
SK : Durant quelle période avez vous piraté ces ordinateurs? Était-ce un cas unique ou cela a-t-il duré le temps d’une semaine?
GM : Oh non, ça a duré quelques années.
SK : Et personne ne vous a repéré pendant ces années?
GM : Non, j’étais prudent quant aux heures de connexion.
SK : Vous vous connectiez au milieu de la nuit?
GM : Oui, je jonglais avec les fuseaux horaires. Faisant cela la nuit il n’y avait heureusement pas beaucoup de monde là-bas. Mais il y a eu une occasion où un ingénieur réseau m’a vu et m’a questionné. Nous avons discuté via le bloc-note, ce qui était très très étrange.
SK : Alors qu’a-t-il dit? Et qu’avez-vous répondu?
GM : Il m’a dit “Que faites vous?” ce qui était un peu choquant. Je lui ai répondu que je faisais parti de la sécurité informatique militaire, ce qu’il a pleinement cru.
SK : Avez-vous trouvé ce que vous cherchiez?
GM : Oui.
SK : Racontez-nous.
GM : Il y avait un groupe appelé le Disclosure Project. Ils ont publié un livre qui contenait 400 témoignages d’experts allant du contrôleur de trafic aérien, aux opérateur radar militaires, jusqu’aux personnes responsables du lancement d’engins nucléaires.
Il y en a des très crédibles, basé sur de nombreux témoignages disant “oui il y a une technologie OVNI, il y a l’antigravité, il y a l’énergie libre, et leur origine est extraterrestre, et nous avons capturé des vaisseaux et recrée leur technologie.”
SK : Qu’avez-vous trouvé à la NASA?
GM : L’une de ces personnes était un expert photo de la NASA, et elle disait que dans le bâtiment 8 du centre spatial Johnson, ils retouchaient régulièrement les photos satellite haute résolution pour en effacer les OVNIs. Elle dit qu’il y a des dossiers intitulés “filtré” et “non-filtré”, “transformé” et “d’origine”, quelque chose comme ca.
J’ai pu récupérer une photo de ce répertoire et, malgré ma connexion très lente 56k j’ai pu grâce à un programme à distance changer la couleur en 4bits et baisser la résolution de l’écran au plus faible, et même là l’image s’affichait de manière ralentie.
Mais ce que j’ai apercu était extraordinaire. C’était le point culminant de tous mes efforts. C’était une photo de quequechose qui n’était surement pas crée par l’homme.
C’était au dessus de l’atmosphère terrestre. Cela ressemblait à un satellite. Cela avait la forme d’un cigare et avait des domes géodésique de part et d’autre ainsi qu’au dessus et en dessous. Même s’il s’agissait d’une image très basse résolution, on voyait l’objet de très près.
L’objet flottait dans l’espace, l’hémisphère de la terre clairement visible en dessous, et pas de jointures, pas de soudures, rien de ce que l’on attendrait d’un engin humain.
SK : Est-ce possible qu’il s’agissait d’une dessin d’artiste?
GM : Je ne sais pas… Pour moi c’était plus qu’une coïncidence. Cette femme avait dit “Voilà ce qui se passe dans ce batiment, dans ce centre spatial”. Je suis entré dans ce batiment, dans ce centre spatial, et c’est exactement ce que j’ai vu.
SK : Alors vous avez une copie de cette image? Vous l’avez récupéré sur votre machine?
GM : Non, le programme de visualisation à distance fonctionnait image par image. C’est une application Java, alors rien n’est sauvegardé sur le disque dur, ou alors seulement une image à la fois.
SK : Alors vous avez pu récupérer cette image?
GM : Non.
SK : Que s’est-il produit?
GM : Lorsque j’ai été déconnecté, l’image a disparu.
SK : Vous avez été déconnecté alors que l’image était en train d’être téléchargée?
GM : Oui, j’ai vu le curseur de quelqu’un passer sur l’écran.
SK : Vous reconnaissez que ce que vous avez fait est illégal, c’était une mauvaise chose, non?
GM : L’accès non-autorisé à une machine est une pratique mauvaise et condamnable par la loi.
SK : Quelle peine devrait encourir quelqu’un qui a fait ce que vous avez fait?
GM : Tout d’abord, compte tenu du type d’information que je cherchais, mon action était moralement correcte. Même si je le regrette maintenant, je pense que l’énergie libre devait être accessible au public.
Je veux être jugé dans mon propre pays, sous la la loi Computer Misuse Act, et je veux qu’on me montre les preuves des soi-disant dommages que j’ai causé, parce que je sais qu’il n’y en a pas.
La NASA a confié qu’elle ne discute pas les affaires de sécurité informatique ou les histoires de justice. La NASA a également démenti avoir jamais manipulé des images en vue de tromper le public, la politique officielle est celle de l’ouverture et de la transparence, de plus elle déclare n’avoir aucune preuve directe de l’existence de vie extraterrestre en sa possession.
ariel232
Nombre de messages : 253 Date d'inscription : 07/07/2009
Sujet: Re: Le hacker aux onvis Sam 1 Aoû 2009 - 7:46