Dans ses vœux, le président de la République se félicite, et félicite les Français, pour leur courage et leur "sang-froid" face à la crise économique. Il remercie les chefs d'entreprise qui ont fait ce qu'ils pouvaient "pour conserver les emplois" (y a de quoi rire, tout de même).
Il pousse un peu plus le ridicule, en prétendant que la France a été beaucoup moins touchée que les autres pays grâce à sa "structure sociale" (qu'ils disent ça aux [Français d'en-bas]). Grâce au G20, et à des évènements comme le sommet de Copenhague, des mesures sensationnelles seraient prises pour financer les pays pauvres et prendre en main le problème du "réchauffement climatique"...
De même, le problème de la spéculation financière qui "semblait insurmontable" ne l'est désormais plus ; l'Europe est en train de s'armer pour lutter contre ce problème catastrophique. De même pour les paradis fiscaux.
Et c'est grâce à une taxe sur ces spéculations financières qu'on devrait financer les pays pauvres...
Par la suite, Monsieur Sarkozy nous parle de la numérisation de la culture française et de l'accès pour tous à un internet haut débit. Directement après, il insiste sur le fait que la
loi HADOPI prendra effet en 2010, pour protéger les créateurs (hahaha, créateurs ? maisons de production, plutôt, oui !).
Tout ça, pour que "les consommateurs soient incités à consommer mieux"...
Bef, vous l'aurez compris (d'ailleurs, il le dit lui-même), le président n'est pas "homme à reculer face à la première difficulté" (surtout quand la difficulté consiste à enrichir ses amis haut placés, ça ne fait aucun doute !).
http://tv.lepost.fr/2009/12/31/1865796_video-les-voeux-de-sarkozy-pour-2010.html#xtor=AL-282Il le dit plusieurs fois, 2010 sera une "année de renouveau", mais y a encore beaucoup de boulot
et boum, juste après, ces solutions se trouveront dans la SOLUTION d'un Nouvel Ordre Mondial.... tout en incitant les citoyens à se respecter les uns les autres, sans s'insulter...
Je n'ai aucun doute, monsieur le Président, que cela peut se faire avec ces petites attentions dont vous avez le secret : CASSE-TOI, PAUVRE CON !