Les substituts du sucre à base d’aspartame causent des symptômes inquiétants
allant de la perte de mémoire jusqu’à des tumeurs au cerveau. Mais en dépit de
l’approbation par la FDA (Food & Drug Administration - organisme de
certification et de contrôle des aliments et médicaments aux États-Unis) le
plaçant au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l’aspartame est
l’une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans
méfiance. Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la
pollution et votre santé, le climat, et les écosystèmes. De l’information pour
les consommateurs, les médias ; les séquelles de la Guerre du Golfe et plus
encore… Du travail sérieux ! L’aspartame est le terme technique pour les
marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure.
L’aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler,
un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament
antiulcéreux. L’aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour
les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les aliments secs
le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises par le Dr. John W. Olney,
chercheur en science neurologique, et par l’Avocat général à la consommation,
James Turner, en août 1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de
recherche de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû
retarder son approbation de l’aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a
acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en
filiales distinctes. L’aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse
sur le marché à être ajoutée aux aliments. L’aspartame est tenu pour responsable
de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a
été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y
compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu’il en a été fait récemment
état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services.
(1)
Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés et énumérés dans le rapport comme
étant causés par l’aspartame incluent : Maux de tête/migraines, étourdissements,
crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de
poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie,
insomnie, problèmes visuels, perte d’ouie, palpitations cardiaques, difficultés
respiratoires, crises d’anxiété, difficultés d’élocution, perte du goût, goût de
fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires. Selon les chercheurs et
les médecins étudiant les effets indésirables de l’aspartame, les maladies
chroniques suivantes peuvent être causée ou aggravées par l’ingestion
d’aspartame : (2) tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome
de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, retard mental,
lymphome, malformations congénitales, fibromalgie et diabètes. L’aspartame est
composé de trois produits chimiques :
-l’acide aspartique, la phénylalanine
- le
méthanol
- DKP
Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range
l’aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir,
c’est exactement ce qu’il est.
- L’ACIDE
ASPARTIQUE (40% DE L’ASPARTAME) Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur en
neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un
ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l’ingestion excessive
d’acide aspartique issu de l’aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du
glutamate de mono sodium 9MSG est de l’acide glutamique. Les dommages qu’il
cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait
mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un
excès d’acides aminés libres excitateurs tels que l’acide aspartique et l’acide
glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques
chroniques et d’une myriade d’autres symptômes aigus. (3)
RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L’ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES
L’aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau
en facilitant la transmission de l’information entre les neurones. Trop
d’aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en
autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion
déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte
en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l’aspartame en
excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent"
ou stimulent la mort des cellules nerveuses.
L’acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié
aux protéines), il élève d’une façon significative le niveau de plasma sanguin
en aspartame et glutamate. L’excès d’aspartame et de glutamate dans le plasma
sanguin, peu après l’ingestion d’aspartame ou de produits contenant de l’acide
glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de
ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau. La barrière sanguine du
cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d’un
excès de glutamate ou d’aspartame, aussi bien que de toxines, 1) n’est pas
complètement développée pendant l’enfance, 2) ne protège pas complètement toutes
les régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques
et aiguës et 4) permet l’infiltration d’un excès de glutamate et d’aspartame
dans le cerveau, même lorsqu’elle est intacte. L’excès de glutamate et
d’aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité
(75%+) des cellules nerveuses d’une zone particulière du cerveau sont tuées
avant même que les symptômes cliniques d’une maladie chronique ne soient
décelés.
Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré
qu’elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des
excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire,
problème hormonaux, perte d’audition, crises d’épilepsie, maladie d’Alzheimer,
maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et
désordres neuroendocrinaux. Les risques encourus par les nourrissons, enfants,
femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé
chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of
American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement
les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré
récemment "qu’il était prudent d’éviter l’utilisation de suppléments diététiques
d’acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants.
L’existence d’une évidence d’effets secondaires potentiels endocrinaux, tels
qu’une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre
hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu’un
supplément d’acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de
procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4) L’acide
aspartique de l’aspartame possède les mêmes effets délétères sur le corps que
l’acide glutamique. Le mécanisme exact des réactions aiguës à l’excès du
glutamate et de l’aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu’il en est
fait état par la FDA, ces réactions incluent : (5) Maux de tête/migraines,
nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l’entrée suffisante de glucose
dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d’anxiété,
dépression et asthme/oppression respiratoire. Une des plaintes commune chez les
personnes souffrant des effets de l’aspartame est la perte de mémoire.
Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l’aspartame, entreprit une
recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par
les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l’un des
nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les
excitotoxines dus à l’ingestion d’aspartame et de MSG.
Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les
dommages causés par l’aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D.,
psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. De même, Olney,
professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington
University, neuroscientifique et chercheur et l’une des autorités les plus
représentatives en matière d’excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que
l’acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris). Également,
Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and
Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.
D’autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine,
Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D.,
FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale
nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis". De même, John Samuels est
concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour
montrer les dangers de l’ingestion excessive d’acide aspartique et glutamique
libre. Et il y en a d’autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette
longue liste.
- PHÉNYLALANINE
(50% DE L’ASPARTAME) La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement
présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique,
phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit
à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois
mortels). Il a été démontré que l’ingestion d’aspartame, particulièrement avec
des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine
dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n’est pas
une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités
d’aspartame au cours d’une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU,
ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang.
Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une
décroissance du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres
émotionnels comme la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l’homme
que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d’une façon
significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l’aspartame.
(6) Même une seule prise d’aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine.
Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr. Louis J. Elsas
démontra qu’une haute teneur en phénylalanine dans le sang peut se concentrer
dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les
nourrissons et les foetus. Il a également démontré que la phénylalanine est
métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7) La
prise en compte d’un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés
provoqués par l’aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal"
dans un article intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l’aspartame).
John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes
débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua
par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l’aspartame. Sa
condition physique se détériora tellement qu’il connu des changements d’humeur
importants et de violentes colères. Alors même qu’il ne souffrait pas de PKU, un
examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila
également une fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après
avoir interrompu sa consommation d’aspartame, ses symptômes se sont améliorés
radicalement. (
Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières
études mesurant l’accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient
défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du
cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses
significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement, les régions de
l’hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient
l’augmentation la plus importante en phénylalanine. Blaylock poursuit en
soulignant que l’augmentation excessive de phénylalanine dans le cerveau peut
causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir
d’une attaque d’apoplexie. Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de
l’aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la
sératonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie
et les attaques.